Pour contribuer à la Journée internationale de lutte pour les droits des femmes du 8 mars, le collectif ANCRés vous propose 8 ressources que nous conseillons pour mieux comprendre l’endométriose, à la fois pour les personnes qui en souffrent et pour leur entourage.
1. Un compte Twitter à suivre
@MKvaskoff, compte de Marina Kvaskoff, épidémiologiste et chercheuse à l’Inserm spécialisée notamment sur l’endométriose.
2. Une étude très récente
« L’endométriose au travail : les conséquences d’une maladie chronique féminine mal-reconnue sur la vie professionnelle », par Alice Romerio, dans le n°165 de Connaissance de l’emploi, novembre 2020 (PDF disponible gratuitement).
Alice Romerio est post-doctorante au Centre d’études de l’emploi et du travail, ses recherches portent entre autres sur les conséquences de l’endométriose sur la vie professionnelle.
3. Une œuvre artistique
Celle de Solomon Kammer (oeuvres 14 à 20 dans la galerie), née Ellie Kammer, artiste d’Adélaïde en Australie, qui a peint entre autres une série de 6 tableaux intitulée « Endometriosis » où le corps, parce que vecteur privilégié de l’expérience du sujet, est peint avec tendresse et brutalité tout à la fois.
4. Un compte Instagram
@endogram qui partage des visuels informatifs illustrant l’expérience quotidienne de l’endométriose.
5. Un projet
La Fondation pour la Recherche sur l’Endométriose (FRE), créée par l’association ENDOmind pour soutenir la recherche et les projets de recherche sur l’endométriose.
6. Un compte Facebook
Celui de Marie-Rose Galès (Endométriose mon amour) pour une information claire, régulière et mise à jour sur l’endométriose.
7. Une vidéo
Dans une vidéo précise et actualisée sur les théories visant à expliquer l’endométriose publiée par le Séminaire Endométriose de ComPaRe (communauté de patients pour la recherche), Marina Kvaskoff répond aux questions posées par les patientEs de la cohorte endométriose et revient notamment sur la critiquable théorie du reflux menstruel.
8. Un blog
Le blog-BD tendre et délicat d’Endonymous, aux prises avec le quotidien de l’endométriose.
Chouyo, pour le collectif